Où allons-nous ?

Publié le par Boyer Jakline

Nous sommes un certain nombre à nous poser cette question.  Pas la tête dans le sable.  Cette volonté des maîtres du monde d’en découdre avec les récalcitrants, Russie et, deux fers au feu, la Chine.  Une des dirigeantes américaines de premier plan, Nancy Pelosi, à Taïwan ...

Sur notre continent européen, déjà le point de départ de deux guerres mondiales, des tensions à la frontière entre le Kosovo et la Serbie. Le Kosovo, ce territoire dans la Serbie,  dont la volonté d’indépendance fut vite vite reconnue par l’Union européenne. Une plaie à fourrager,  ça peut toujours servir. Et le story telling est prêt : les Serbes des barbares... comme leurs amis russes.

Tiens, au fait,  information du soir sur France 3 (1er août): la Serbie détient les réserves de lithium parmi les plus importantes au monde.

Alors pourquoi ne pas reconnaître le statut russe de la Crimée ? Ce fut l’argument avancé par la Russie,  dénonçant un nouveau deux poids  deux mesures. 

Ce rappel des faits avant de vous proposer une vidéo qui expose clairement la vision russe de ce qui est en cours : un basculement du monde.  

J’y vois, dans cette agressivité décuplée et dangereus-issime,   un monde qui ne veut pas mourir quel qu’en soit le prix, y compris pour nous. Le vieux monde incapable de se penser autrement qu’hégémonique. 

 

Du grain à moudre.

 

 

 

DERNIÈRE MINUTE :

 

À quelques jours de l’anniversaire d’Hiroshima et du premier essai nucléaire in vivo américain (car ce fut justifié ainsi), voilà une visite bien dans l’esprit hégémonique et provocateur. 

Il a fallu attendre 2016 pour la visite d’un président américain à Hiroshima.  Barack Obama s’y rendit. Mais,  contrairement à la forte attente de la population   il ne présenta pas d’excuses : le boss a toujours raison  ! Odieux. 

Pendant ce temps,  les élites françaises s’empoignent sur l’antisémitisme, ce qui ne fait pas avancer d’un iota le conflit injustement nommé Israëlo-palestinien, et envoient des armes en Ukraine.  Il faudra s’en souvenir. 

Nancy Pelosi,  82 ans, présidente du Congrès américain.  Les valeurs,  mille fois trahies, en bandoulière.

Publié dans geopolitique

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article