For the times they're changing...

Publié le par Boyer Jakline

De l’hommage au mur du Kremlin à l’inauguration du monument à Fidel Castro.

Suite de l’analyse de Zakhar Prilépine sur le virage politique de Vladimir Poutine un peu plus tard. D’une actualité impertinente...

L’actualité vient s’inviter : après un passage à Alger, l’Algérie a demandé à rejoindre les BRICS,  le président cubain est à Moscou. 

Il a pris la parole devant la Douma et inauguré avec le président russe un monument à Fidel Castro. 

À  suivre, son intervention à la Douma. 

Je dédie cet article à mes camarades de LFI et du PCF qui se sont perdus. 

Seule à gauche, la petite LO a gardé la tête froide. 

Vladimir Poutine reçoit au Kremlin Miguel Mario Diaz-Canel Bermudez, président cubain. 

Traduction de son discours. Extrait. 

Fidel et ses compagnons ont  toujours défendu avec esprit de sacrifice la souveraineté de leur pays. Il n’a pas permis que l’intervention de mercenaires la brise, ni les sanctions,  ni l’embargo financier et économique,  ni les tentatives d’isolement extérieur. Ils ont défendu le droit de Cuba à son propre modèle de développement qui corresponde à leurs valeurs nationales et non à des valeurs imposées de l’extérieur. Ils ont gagné que dans le monde entier leurs opinions soient prises en considération et leurs intérêts respectés.

Pour de nombreuses générations de nos concitoyens, la figure du  Commandante était auréolée de gloire romantique,  de courage et  de victoires,  dans la célèbre chanson soviétique  "Cuba, mon amour" se reflétaient nos sentiments sincères et enthousiastes pour l’Île de la liberté, et tout le peuple cubain,  mais ils se  reflétaient aussi directement pour Fidel dont la puissance,  l’énergie et la volonté inflexible attiraient et attirent jusqu'à ce jour comme un aimant. 

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