Uranium appauvri, du vrai nucléaire.
Quand le président russe en parle, tous les médias se mettent à jouer l’affolement. Zélenski demande une réunion de l’ONU.
Or, comme souvent, il s’agit pour la Russie de répondre à une déclaration anglaise. En plein sommet Xi-Poutine qui a mis tout l’Occident collectif en émoi, la vice-ministre des Affaires étrangères de Grande Bretagne a annoncé que son pays allait livrer des obus à uranium appauvri à Kiev. Nous sommes le lundi 20 mars.
C'est un geste d’une grande gravité. La Russie par la voix de son Ministère des Affaires étrangères a immédiatement réagi. Puis le chef de l’état russe a annoncé les dispositions qu'il prend... en réponse. 25 mars.
Entre temps, après l’annonce britannique, un dirigeant de la Maison Blanche, John Kirby, a tenu à " dédramatiser" l’usage de ces armes. Or, comme l’agent orange utilisé au Vietnam qui continue à faire des dégâts, l’uranium appauvri outre les méfaits immédiats, a des conséquences tragiques durables.
La Russie souligne l’incroyable dans cette situation : c’est le gouvernement ukrainien qui utiliserait ces armes contre sa propre population et son pays. Un pas est incontestablement franchi.
"Il s'agit d'un type de munitions courant qui est couramment utilisé en raison de ses capacités de perforation d'armure. Si la Russie est profondément préoccupée par le bien-être de ses chars et de ses pétroliers, la chose la plus sûre pour eux est de les faire traverser la frontière, hors de l'Ukraine". John Kirby.
L’initiative britannique est donc avalisée, sans doute prise en "concertation".
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