Ukraine : banc de tous les essais. Complicité de la France.

Publié le par Boyer Jakline

Il y a " les usines à bébés", qui tournent à plein depuis des années. Il y a depuis le début de l’intervention russe un trafic d’organes humains très lucratif et évidemment nié par le docteur Kouchner par exemple. 

Il y a maintenant les laboratoires biologiques à usage militaire,  américains,  nombreux, anciens, que les Russes ont découvert en avançant sur le terrain.

L’existence en fut niée par Victoria Nuland,  mais une "maladresse" dans une conférence de presse l’a démentie. 

Aujourd'hui,  ce sont les déclarations d’un dirigeant américain, dont le seul nom est une carte de visite. 

Dans la vision de l’humanité de ces dirigeants, il y a ceux qui ont droit de vivre et ceux qui sont voués à jouer les cobayes.  Hier, les Japonais ou les Vietnamiens et la liste est longue. De l’Afrique au Vietnam,  la France coloniale n’est pas en reste non plus. 

On sait que les armes à sous munitions sont condamnées par l’ONU et les États-Unis mêmes.  Or, elles sont utilisées en Ukraine,  dans le Donbass. Ce qui en dit long, hors propagande,  sur l’avenir que Kiev assigne au Donbass, dont le sol va être contaminé. De même,  les bombes à  uranium appauvri. Utilisé massivement en Serbie.

Tout est permis,  à la guerre comme à la guerre. Mais pas sur le sol américain,  bien sûr.  Ce qui permet au président polonais de déclarer que c’est une guerre à moindre coût humain,  "puisqu'il n’y a pas  de morts américains". Ni français,  j’ajoute. Comment assumer de tels propos ? La censure trouve ici sa justification. Notre pays fournit des armes encore et toujours.  Mais n’est pas en guerre... "Ne pas humilier Poutine" ? Et épargner les Ukrainiens ?

Et si au lieu de "buzz" sur Médine ou le Connemara, notre pays s’enflammait  dans un combat pour que se taisent les armes en Ukraine ? Ce qui se passe en Allemagne... voilà un modèle allemand peu vanté. Notre pays avait,  a (?) un rôle unique à jouer pour que cesse le massacre. 

J’y reviendrai.

 

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