L’Ukraine à l’envers, la France de Macron aussi.

Publié le 21 février 2025 par Boyer Jakline

Ses thuriféraires nous expliquent que non, le président n’a pas tenu la carte à l’envers. C'est pourtant à l’envers qu’elle est apparue, comme un surgissement du refoulé souligné par le regard très particulier du président. Il a débité tous les mensonges fournis depuis 3 ans par son acolyte Zélenski, le plus éloquent étant l’attitude française lors des accords de Minsk, alors que le menteur impavide Hollande, garant de ces accords pour notre pays, a déclaré publiquement que ces accords avaient été signés pour ne pas être appliqués. Et tout à l’avenant.

Il n’y aura pas de Jaurès à assassiner, comme le 31 juillet 1914, car il n’y a plus de Jaurès. Perdus dans la confusion générale, les représentants de la nation bêlent derrière le président allumé sur la " menace existentielle russe", qui justifie des budgets militaires en hausse vertigineuse. La situation sociale en Angleterre est encore plus dégradée qu’en France mais ces socialistes de pacotille veulent aussi la guerre.

Heureusement, le rapport des forces international a changé, mais cela ne nous exonère pas, nous citoyens d’ici, de prendre notre part pour que notre pays quitte ce camp du mensonge et de la honte.

On nous dit que Macron et son compère Starmer sont "invités" à la Maison Blanche. N’y sont ils pas plutôt convoqués ?

Certes Donald Trump avec ses déclarations tonitruantes et empreintes de vérité "vous avez eu 3 ans pour faire la paix, vous n’avez fait que la guerre" " cette guerre n’aurait jamais dû commencer "... certes, il exonère la responsabilité écrasante des administrations Démocrates depuis Obama. Celle des États-Unis. Règlement de comptes.

Mais soit, prenons ce qui est bon pour le continent européen et ses peuples.

En lien, l’analyse de Sergueï Lavrov au sortir du premier contact russo-américain à Ryad. Traduction en off un peu pénible.

À par ça, douce France, Georges Ibrahim Abdallah n’est pas libéré. Le plus vieux prisonnier politique de la planète, libérable depuis 1999. Le sera-t-il le 19 juin prochain ?

Derrière Mummia Abu Jamal, incarcéré depuis 42 ans aux États-Unis.