USAID/CIA ?

Publié le par Boyer Jakline

 Sur ce sujet l’analyse russe détonne, est dans la complexité ce qui n’est pas le moindre intérêt. Comme d’habitude. 

Donc, il est précisé que les États-Unis ont quelques 17 structures de soft power.  S’attaquer à Usaid est symboliquement très fort. Mais les États-Unis n’ont pas du tout l’intention de renoncer à cette forme de présence dans le monde. Ils revoient leurs outils pour plus d’efficacité. Analyse que je partage. En même temps Marc Rubio prend acte du passage d’un monde unipolaire à un monde multipolaire. L’enjeu est donc de garder le leadership. 

Lutter contre la faim dans le monde, les maladies,  c'est la carte de visite seule reprise chez nous. À force d’être borgne (éborgné?) nous voilà aveugles. 

Or, l’envers du décor, c'est l’outil de "regime change". Samantha Power, qui dirige USAID, disait tranquillement que 5 milliards de dollars avaient été versés à Kiev pour organiser Maïdan. Et voir la déclaration du premier ministre georgien. Combien d’autres ? La corde est usée,  il faut la changer. 

Un commentateur avisé notait qu’au plan intérieur cela pouvait se révéler contre productif pour le nouveau président : ces quelques 10.000 fonctionnaires de l’USAID de retour au pays ne vont faire que ce qu'ils savent faire : fomenter en tout genre.  Ça peut s’entendre. Précision : 8 mois de salaire leur sont garantis. 

Vous aurez sans doute pu lire la longue liste des associations, organes de presse etc qui ont bénéficié des fonds USAID,  de l’AFP à la BBC, pour les plus emblématiques.

 

 

 

Pour Gaza. 

Vitale, la question de l’eau traverse les continents de Gaza à Mayotte. 

Cette vidéo a bizarrement disparu de mon article du 7 février.

Publié dans Guerre de l’info.

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