Anne-Laure Bonnel : entre travail et censure.

Publié le par Boyer Jakline

IL N’Y A QUE LES COMBATS QUE L’ON NE MÈNE PAS QU’ON EST SÛR DE PERDRE.

Combien en avons-nous de ces journalistes de terrain, qui, retour de leur voyage, disent forcément autre chose ?

Il y a elle, Anne-Laure Bonnel, à qui son engagement dans la vérité de son métier lui vaut la réprobation des maîtres et des difficultés de vie, gagner sa vie. Ce qui frappe dans ce qu’elle raconte c’est le manque de courage, la lâcheté de ceux qui la mettent hors jeu socialement. 

Il y a Régis Le Sommier, retour de 3 sejours de Koursk, et dont les témoignages battent en brèche toutes les fadaises sur les soldats russes auxquelles on a droit, sans avoir rien demandé. 

Il y a dès 2016 Paul Moreira et ses "Masques de la révolution" où il découvre le massacre d’Odessa dans la Maison des Syndicats. Reportage visible sur ce blog.

L’entretien réalisé dimanche dernier est passionnant. Ce blog, moi,  ne pouvions faire autre chose que le diffuser. À partager s’il vous a convaincus.

Je republie son document vérité de 2015, Donbass. C'est là que tout commence, non le 24 février 2022. 

C'est au cœur du bras de fer engagé aujourd'hui. 

 

Juste écouter. Juste partager.

Pour ceux d’entre vous qui ne l’auraient pas vu.

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