Cancel culture ou le triomphe de la bêtise.(1).

Publié le par Boyer Jakline

Le ballet russe, gardien de la tradition. 

Certains semblent le dire comme une critique. Or, ce pays toujours en train d’innover, de créer, d’être bousculé, de se bousculer aussi, quelquefois à un prix très élevé, a besoin de la tradition aussi.

Je fais mienne l’expression d’Olga Zinoviev " les moujiks en savates", exprimant le regard méprisant des élites occidentales sur les Russes.  Elle précise : nous devons être plus intelligents qu’eux. Je pense que c'est chose faite.

J’y reviendrai demain, cancel culture,  sujet inépuisable !

Ils cheminent avec les interrogations d’un Tchekhov, les profondeurs d’un Dostoïevski,  les tourments d’un Tchaikovski et le ballet russe, au fait créé par un Français, Marius Petitpas. Le vocabulaire de la danse classique est français. 

Et tant d’autres. 

Je  ne résiste pas à partager ce moment indicible du ballet La Bayadère,  toujours au programme du Bolchoï et du Marinski de St-Petersbourg. 

Souvent ces spectacles offrent des émotions fortes. 

Le début de l’acte 3 où l’héroïne vient de mourir et arrive au pays des ombres est unique.  On n’en croit pas ses yeux. 

Bon week-end !

Le souffle coupé.

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