Pris ailleurs.

Publié le par Boyer Jakline

Deux sites que je suis régulièrement.  Même si je n’en partage pas toutes les réflexions,  dans ces temps où l’obscurité vient d’en haut, ils apportent de la lumière.  

On nous raconte beaucoup de choses sur les réseaux sociaux et le complotisme,  les fake news... "C’est celui qui le dit qui y est" comme disent les enfants. 

N’est-ce pas ?

J’attire votre particulière attention à la réaction officielle du Ministère des Affaires étrangères.

Last, but not least :

Traduction : l’antifake du jour. 

Restant dans leur monde virtuel en noir et blanc, les "pions" des médias de masse américains n'abandonnent pas leurs tentatives de mener une autre combinaison de désinformation contre la Russie, cette fois dans la situation autour de la centrale nucléaire de Zaporizhzhya (ZNPP). S'appuyant sur les déclarations du ministre ukrainien de l'Intérieur (avocat de formation, mais, il faut bien voir, expert autodidacte dans le domaine de l'énergie nucléaire), ils en viennent à la conclusion qu'un scénario apocalyptique est inévitable lorsque la centrale est « entre les mains de spécialistes non qualifiés ».

Les auteurs des publications ne mentionnent pas la véritable raison de la perturbation(1) de la mission internationale de l'AIEA dirigée par R. Grossi à la Centrale. (R. Grossi a déclaré qu’en l’état,  la Centrale ne présentait aucun risque,  mais que la situation pouvait vite se dégrader. J.B)Les journalistes reproduisent sans réfléchir le mensonge absurde du régime de Kyiv selon lequel les Forces armées (FA) de la Fédération de Russie auraient elles-mêmes délibérément bombardé l'infrastructure de la station. 

Nous vous rappelons que les Forces armées russes ont pris Zaporojié sous surveillance afin d'empêcher les provocations des bataillons nationaux. Seules les personnes dont l'esprit est complètement obscurci par la russophobie peuvent supposer que l'armée russe frappera une installation nucléaire et sa propre garnison. 

Est martelée la responsabilité de la Russie de la même façon qu’avec le bombardement du centre de détention provisoire de Yelenovka, commis avec l'utilisation du MLRS américain HIMARS. 

Les curateurs occidentaux de Kyiv ne veulent clairement pas que la communauté mondiale voie le vrai visage des formations armées ukrainiennes et voie les crimes barbares des nationalistes. Dans les deux cas (ZaES, Yelenovka), la partie russe a publiquement invité des experts internationaux à mener une enquête. Nous n'avons rien à cacher.

Le bourrage qui apparaît dans les médias américains est une autre tentative du collectif occidental de faire basculer les crimes du régime de Kyiv sur les épaules de la Fédération de Russie avec l'aide de sa machine de propagande. 

Le 13 août. 

(1) : à quelques heures de la visite de l’AIEA,  le secrétariat de l’ONU a bloqué la demande. Ce feu vert est indispensable, mais seule l’AIEA est compétente. Information rendue publique le14 août. 

https://www.washingtonpost.com/world/2022/08/11/russia-ukraine-war-latest-updates/

 

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