Douce France : quand elle se tait...

Publié le par Boyer Jakline

Je partage ce coup de gueule de Régis de Castelnau,  car ce silence français est de plus en plus le problème.  Pas le silence de Macron, qui comme son copain Trudeau, "n’est pas coupable".  Ni responsable.  Vous avez noté que ces politiques depuis des décennies et Macron poursuit dans cette voie ne sont responsables de rien. (Cf l’ex rectrice de l’Académie de Versailles...)

Non, le silence des autres,  des nôtres. 

Ceux qui disent "le consensus" en France sur la question ukrainienne. 

Les Blinken,  Von der Leyen multiplient en haut de tribunes des déclarations mensongères visant toutes à noircir, encore plus si c’est possible, la réalité de l’histoire : bombes américaines sur Hiroshima,  Von der Leyen,  Baby Yar et le massacre des juifs de Kiev, Blinken.

Ici, on se tait.  

Or, tout cela renvoie aux enjeux de la guerre qu’ils sont en train de perdre "sur le champ de bataille". Ils ne s’arrêteront pas. Ils, les États-Unis,  le gouvernement américain. 

Ils seront arrêtés par : un mouvement intérieur aux États-Unis,  des oppositions d’États de l’union européenne, des peuples européens, des Ukrainiens. Le tout en même temps. 

Peut-être. 

Les mensonges épouvantables sur la réalité de l’histoire autour de la Grande Guerre Patriotique ou deuxième guerre mondiale et le comportement des soviétiques sont là pour brouiller les cartes auprès des citoyens occidentaux.  La fin justifie les moyens comme jamais.

Et là,  patratas, l’épisode canadien.  Alors que la "dénazification de l’Ukraine" était un minable prétexte de V.Poutine pour agresser l’Ukraine. Non seulement il y en a en Ukraine,  mais on découvre qu’ils sont nombreux,  bien au chaud,  dans les " grandes démocraties". A 98 ans,  le membre actif du bataillon Galicie va devoir rendre des comptes.  La Pologne a demandé son extradition. 

Bien joué,  Mister Trudeau. Bien joué, Mister Zélenski et madame.

En attendant,  depuis maintenant 9 ans, tous les jours,  tous les jours,  des civils meurent dans le Donbass. Et les écoliers du Donbass,  ceux  qui restent,  car beaucoup sont partis en Russie,  déportés nous dit-on ici sans honte, vont régulièrement dans les caves comme leur avait promis Porochenko dès 2014.

Mon journal syndical de rentrée fait une brève émue sur ces écoliers ukrainiens dont pour la TROISIÈME fois,  la rentrée se fait sous les bombes...

 

 Nous voilà revenus au point de départ.  La France se tait. La désinformation règne.  

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